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3e Zone

by Casanier

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1.
Prélude 01:37
2.
Intro 01:45
J'te présente la combinaison c'est Dam au clavier, Caz au MIC, ouais , Bugs Benny rajoute des aromates, Check, j'ai braqué la maison de papier sans bac L mais j'passe moins de temps sur scène que dans les backstage. La zique a finit par s'taire, une fois sectionné l'artère, j'ai perfectionné mon art, sélectionné mon armée. Aucun remède pour calmer les nerfs, j'vais pas clamer que j'vais canner des mères, mais j'vais bien casser des nez. J'vais pas m'auto-proclamer chef non plus, même si c't'année j'ai pas flâné, j'suis toujours entrain d'planer au dessus d'l'échèc. J'ai une vue imprenable sur le bas d'l'échelle, comme pris en tenaille mais frère j'suis intenable et ça veux pas m'lâcher. Mate la chaine est cadenassé, on fait qu'se battre contre du vent qui nous renvois d'l'acide, frappe l'acier mais c'est un glacier. Comment rester placide les panards dans l'brasier? C'est pas facile faut être agile pour rentrer dans l'casier, Viens zieuter la violence, ça va t'donner envie d'goûter à la Hollandaise ou faire pleurer les violons. Qui est volontaire ? Ils ont pétés un boulons, y a plus personne pour faire le bien donc on fait l'sale boulot. J'ai passé l'année à les buter, ils ont beaux lutter pendant 8heures, les mots crient mais j'entends plus que le crissement du cutter. J'doit pas être foutu comme les autres , j'me tire les ver du cœur, il fuient et je n'sent plus que le clic et le percuteur, c'est brute.
3.
C'est l'histoire d'une espèce qui n'a pas su s'tenir, à croire qu'ils ont fait exprès de faire une chute libre. chuuut j'te dis qu'ils avaient de quoi subvenir, pourtant ces gens-là à la rue n'étaient pas sûrs de vivre. sur le qui-vive, la bourse, la course, la poursuite après tout ce qui brille, la source a toussé toutes ses dernières gouttes d'élixir , il faut tout, à tout prix, peu importe le coût, élimine tout, pour bâtir une tour Elithis. Triste histoire, tu suis ? c'est pas l'pire du film, attends d'voir quand.... Ils se foutent des victimes, ces fourbes élitistes, ils floutent les vitrines quand la foudre électrise, font les clowns, tout est cool, ils étouffent lesdites crises, ils écoutent, ils détournent, et les troupes d'élite suivent. redécoupe les limites, des groupes de gens s'expatrient, échouent sur les plages où les touristes s'extasient. ...le tout c'est qu'ça brille, et bas les couilles de marcher dans le sang en espadrilles. ... ils ne voient ni les douilles, ni les escadrons, parce qu'ils ont juste la vision du loup de Tex Avery. Ils font la fête le samedi pour oublier c'que ça veut dire « peine », 6 jours sont passés, ils les ont passés à se maudire, berk complètement dépassés et les réserves s'amenuisent, j'peux t'passer la suite si jamais vraiment ça t'ennuie . Parce qu'ils sont trop occupés à scroller des sites occultes, pendant qu'les vrais lanceurs d'alertes, eux, ont les shmit au cul. ils veulent les mettre au pas, un drône aux bask et chrono partez, dans le meilleur des cas ça finira un pruneau par tête, en aparté, est-c'que t'as capté ? qu'ils s’autodétruisent, avant d's'adapter, les dents qui rayent le parquet ça donne un milieu impacté. ils ont perdu la clarté, la logique écartée à terme, là où, vendre son âme est plus facile que garder sa tête. Ecoute ils ont jeté l'éponge, pété les plombs, c'était assuré ils ont fait les cons. Ça fait qu'appuyer sur un bouton, afin d'larguer des bombes, mais le retour de bâton va les plonger dans l'ombre. quand le ciel va craquer le sol va s'fissurer sous leurs pompes, ils ont creusé leurs tombes quand ils ont construit leur monde. mais là, pour l'heure, les eaux-montent et si c'est pas les raz d'marée, bah, les cyclones les auront, quand Mère Nature est contrariée ses enfants font le dos-rond. Bienvenu dans l'oeil de Sauron,l'air y est irrespirable, les flammes forment des spirales, ici la mort tient son rôle, la vie est inestimable, mais l'avenir est tiré si bas qu'on arrive à l'inévitable, quand y a plus rien dans ton auge. est ce que t'a compris un traître mot ? tu gardes la tête haute, en silence, t'es p't'être mort ? Sale époque, triste sort, là tu t'demandes s'il faut pas qu'tu quittes le sol , mais t'inquiète pas, ce genre d'histoire n'arrive qu'aux autres.
4.
L'Hérétik Quand t’as fait le tour de toutes les portes, la foule, la fuite, de tout ce décor, À bout ... tout se déconnecte, coups de sang détonnèrent, on a tous des tords, Mais comment s’détendre ? Faire les 100 pas comme, à deux pas de la scène mais la masse s’en tape, Qu’à cela ne tienne, esprit cadenassé, casse la chaîne, cœur de glace devient marchand d’armes, Et dans les bras de Satan toutes les âmes s’attendent, ça discute ça prend l’air, Vite ça plombe le moral, parait il, pour la suite ça promet ... Crise latente, tous affolés par une pluie bâtante, climat tendu, grimaçant, Quand de prime à bord et puis finalement, on t’apprend « vise la lune » pendant qu’eux visent la tempe ... file dépêche toi quitte la danse Casanier on est coincé au sous-sol bien en dessous, du niveau de l'eau il y a le vide au-delà, cœur gelé boit des litres de lave pour avoir l'illusion d'une vie indolore vivre ici-bas c'est pas difficile si tu pactises avec le gérant du 666, s'il nie c'est cynique il signe et c'est fini les civiles assignés les sirènes et sinistres bloqués dans nos cases, choqués quand on porte pas de masque, côté liberté ça part mal car ces barbares aux casques et par-balles écrasent les bavards rase les parois,, les caméras braquées on est des rats traqués l'état est détraqué parias attaqués l'allumette a craqué la citerne éclaté Refrain Bloqués, tout est verrouillé de l’intérieur, place au progrès, mais l'humanité de demain me fait peur, Tu t’étais trompé, ce monde il est pas dans son meilleur état, Ça résonne ou ça sonne creux, ça dépend de la vision de tes yeuz Soska 2 façons de voir ton reflet : Baisser les yeux ou bien te relever, Fais le pour la famille, fais le pour la fierté de tes re-fré, Fais le sourd à l’appel du sheitan, dans le cœur t’as du C4 , Et si l’étincelle t’échappe c’est le décor entier qui est refait, J’ai mis l’alliance j’ai pas mis les bracelets, J’ai pris ma chance j’ai pas pris mes vacances, J’ai ressenti l’absence comme une présence vide, J’ai visé l’évasion mais le piège se referme, Ma fierté parle par peur de me taire, Mon ego me gagne par peur de me perdre, Mon âme se cadenasse hors de mon être, Et quand je crois me battre seul je me blesse L'Hérétik Faut fuir ce tas de contraintes, croupir ? Non j’mise sur la vie même à 4 contre 1, Dans le vif, dans le vide : soupir. Quand faut briser la vitre pour qu’on garde contact Donc triste est l’attitude, pas de comparse j’ai ma tribu, J’ passe mon cas, à la loupe à la bourre, erreur 404, Sans blague, j’entends « reste en cage ou plaque ton taf » Donc pardon, partons de la, ouais filez filez vite, T’façon partant de rien ou par temps de pluie, le chrono s’y met, cimer... puis défile, Ça finit entre 4 planches, parfois d’maniere instantanée, genre un un instant calme .. Ouais ça gâche l’entame .. Quand la basse tombe, mets les gaz quand la baston part il t’manquera pas ce monde. Refrain Bloqués, tout est verrouillé de l’intérieur, place au progrès, mais l'humanité de demain me fait peur, Tu t’étais trompé, ce monde il est pas dans son meilleur état, Ça résonne ou ça sonne creux, ça dépend de la vision de tes yeuz Casanier tous dans l'impasse pousse pas, hen ici c'est marche ou câne, ouais tout-par la foule s'couche pas, non c'est pavés contre touches-car fais les fils en vue de filer vers l'espoir, besoin d'un funiculaire vers l'espace, pour l'instant on a que la beuher d'Espagne pour nous bercer l'soir et nous percer l'crâne on est tous en détention nos barreaux des mensonges une pure invention de l'esprit, dans les temps sombres on joue collectif mais quand la tension monte viens les projectiles qui y fait attention plus aucune intention on ne fait que suivre les directives, dans cet asile on me dit reste peace et la tête sous l'eau on me dit respire Soska On te pousse à la dualité, pour ou contre c’est ta qualité, C’est que t’as qu’à lutter mais t’es catapulté dans la fatalité depuis la faculté, Cœur verrouillé appelle serrurier, La clé s’est rouillée, les larmes essuyées l’ont laissée mouillée, La gorge est nouée, les torts avoués et l’âme épuisée, On ne se sert plus la main, préfère signer des contrats, On fait des constats, compte les dégâts, Comme si on sous estimait le combat, quand tout ce qu’on estime ne compte pas, Le regard s’efface mais ne trompe pas, La parole se trompe mais ne s’efface pas, C’est navrant et je m’alarme, Pluie de larmes depuis que maman est malade Refrain Bloqués, tout est verrouillé de l’intérieur, place au progrès, mais l'humanité de demain me fait peur, Tu t’étais trompé, ce monde il est pas dans son meilleur état, Ça résonne ou ça sonne creux, ça dépend de la vision de tes yeuz
5.
Encore un pas de plus dans la braise, encore un jour sans voir le sommet de la falaise, on va encore agir et puis penser après partis pour bâtir, on a vite rangé la pelle. Encore un jour sans attrait où la batterie faiblit, il faut être un athlète pour tenir le rythme, Un mal nécessaire qui nous pousse vers le vide, poussière de vie. Sourire devant mais pourrir dedans, soupir, fou rire, pâlir ou trembler, pour vivre dignement il faut s'ouvrir le ventre, courir, survivre ou périr étranglé. On peut dire d'emblée qu'on est tous un peu cinglés, il y a ceux qui se pendent et il y a ceux que l'on a sanglés. à ceux à qui tout semblait blême, une fois les veines ensanglantées se sentaient bêtes. Carnassiers depuis les dents de lait, si la chaire est tendre on ne va pas se contenter de caresser la dentelle. A l'hôtel elle opère, à long terme elle en perd la beauté, du 7eme elle a sauté. En un clic, sans un cri, dans un bruit d'tonnerre, un type épris d'colère a retourné l'pistolet. Les pistes mènent à une triste vérité, l'humanité est en pleine crise de nerf. Refrain Encore un cœur en désordre une âme perdue un trésor, Encore une corde à descendre pour la mort c'est un présent, encore un corps apaisé dans un décor oppressant, il ne reste que des cendres sous les draps blancs à présent. Encore un jour à fouler la terre, une boucle infernale qui va creuser les traits. les couleurs déteignent, où tourner d'la tête, Écouter les doutes ou écourter les peines. dégoûté, dérouté, des foutaises en soi, car on finira tous dans une couchette en bois. mieux vaut être fou qu'un foutu cobaye paralysé par la peur et infoutu d'combattre. Encore la belle au bois dormant dans un corbillard, elle était formidable mais cette époque minable n'était pas cordiale, réduite à fornicable, elle en a perdu jusqu'à sa force vitale. une lutte interminable... la maladie l'a mis à terre, est ce qu'elle le terminera, à moins que lui y mette un terme et éteigne l'image, c'est un train à grande vitesse qui l'exterminera. et qui l'extirpera, elle, de son pire cauchemar, à dormir dans le froid et dans la pisse de rat, mais c'est la triste réalité, prise de rage, elle a pris le large, t'façon qui l'saura. qui les sauvera, une fois plongé dans l'noir, que l'espoir se fait plomber au mauvais endroit, quand vient le soir on ressasse tous les drames, les peurs et les larmes se cachent sous les draps. Refrain Encore un cœur en désordre une âme perdue un trésor, Encore une corde à descendre pour la mort c'est un présent, encore un corps apaisé dans un décor oppressant, il ne reste que des cendres sous les draps blancs à présent.
6.
Interlude 01:29
7.
Moi pas peur de la vie, je suis l'acteur et le scénariste, Le seul auteur de ce qui m'arrive, cascadeur pour les scènes à risques. J'essaie d'être à la hauteur, parfois, j'en ai des hauts-le-cœur, Ma famille c'est mon moteur, ma faille, mon mur porteur. Devenir important ? j'm'en tamponne, les grands hommes aussi finissent en fantôme, Pas de parcours sans fautes, partout on se Cramponne sans trop savoir où l'on s'enrôle. On recherche le sens propre de notre existence avec persistance, Mais pendant c'temps il y a les heures qui passent et les gens qui partent par intermittence. Non moi pas peur de la vie, hors de ma ville natale je navigue, instable, aucun bail peut me retenir, j'm'installe un temps puis me retire. depuis des années j'fais des allers retours, combien de rencontres dans les blablacar à apprécier l'paysage et à parler de tout, que ce soit en clio ou en classe A. une soif inlassable, de voyages, de bagages sans linge sale, on est que de passage dans la gare, on s'est juré de se revoir quand on s'enlaça, et l'temps passa, maintenant Que pasa ?des fois j'me sens seul et regarde les étoiles, comme un ascenseur qui me rapproche de toi, quand j'suis amorphe le soir, me gave à mort le foie, j'radote des histoires, regarde-moi... le retard que j'ai pris n'est pas rattrapable, j'suis là, comme un con, sous la scène à 4 pattes, à faire mon taff tout en rêvant d'être à Palerme alors que mon collègue rêve d'être à part. on s'connaîtra jamais assez, tant qu'on ne fait pas la paix avec soi-même, j'ai baffé l'amour après l'avoir embrassé, pris mes distances pour mieux prendre soin d'elle. J'pense qu'à ma gueule, j'veux pas danser à 2, j'avance un peu, ouais jsuis plus cet ado Qui était dans sa lancée, à foncer, avant de Mesurer ses actes et peser ses paroles. On paie tous le tarot , le passé, les remords, c'est comme des barreaux, on en devient parot, impossible de s'tenir à carreaux, t'façon on part un par un. Refrain sans direction précise je vogue, ma bonne étoile me guide je vole, pardonnez-moi si je quitte le sol, m'attendez pas, m'attendez pas. non moi pas peur, la vie nous pousse à être gladiateurs, le cœur ne dégèle pas près du radiateur, on est un alliage de haine et d'amour mais sans variateur. on prône la paix là où trône la guerre, mais s'il faut on fait grogner la bête, trop de frérots à terre, sont dévorés à terme, alors maintenant on a les crocs de la mer. j'ai pas grandi avec des bandits des gangs, ni les grandes idées que Gandhi avait. il fallait faire le choix entre violence et sagesse, j'ai pris les deux les coups et les caresses. compte plus les adresses où j'ai vécu, les gens qui m'ont déçu, complètement dévêtus ne sont que des murs, ok j'suis têtu, instable est l'attitude, mais pour moi vivre c'est assembler des trucs. Compte plus les fractures, les fois où j'suis pas sûr, où j'ai recollé les bouts après une cassure, compte plus les ratures, les fois où j'suis battu, les peurs, une fois qu'elles sont passées, rassurent. Refrain sans direction précise je vogue, ma bonne étoile me guide je vole, pardonnez-moi si je quitte le sol, m'attendez pas, m'attendez pas.
8.
C'est juste une page de plus dans un tas d'paplards, finira dans l'placard à balais, pas l'cartable. j'ai fait sauter l'cadenas de la boîte de Pandore et provoqué l'karma. pendant qu'les gens dorment on niera pas l'carnage, il y a toujours nos fantômes pour tenter d'nous rattraper . trop de maux, c'est pour ça qu'on parle mal, ou qu'on n'parle pas du tout, une sorte de carapace, à chacun son pareballe. ouais poto, v'la le topo, tout s'oppose à croire en l'homme, on vivrait en osmose, si chacun avais foi en l'autre. le chrono, La mort, dans les chromosomes, faut qu'on l'aborde sans être trop morose, Mais steplait stop le temps on est chronophobe. l'avenir est proche, t'attends pas à une virée folle si t'as pas de billets en poche, tu ne pourras pas en tirer profit. j'ai le spleen, pendant qu ' j'écris Des corps s' atrophient , des hommes, des femmes, rêvant de quitter c'décor catastrophique. Chacun son coffre-fort, le cœur il s'tape pas comme un portefeuille, il finira dans un cercueil confort. Mate comme l'être humain s'comporte, comme l'air frais se décompose, on ne fait que décrire ce chaos sur de belles compos. Comme si tout ça s'envolait avec ces notes, paraît qu'ce monde c'est l'nôtre , paraît qu'il est plus beau avec un excès d'drogue. j'laisserais la voix s'casser la gorge le temps d'penser à d'autres, ceux qu'ont claqué la porte sans avoir même frappé d'abord. J'ai taillé dans la pierre mes propos, braillé dans la pièce pendant qu'certains poto se faisait broyer dans l'piège. du tord boyaux dans l'bec, rêvant de s'noyer dans l'pez, montrer c'qu'il a dans l'ben, s'tirer un noyau dans l'pied. à force de faire des courbettes on se dit tous dégoûtés, que si on veut être écouté il faudrait mettre des coups d'tête. qu'on aurait sûrement plus de chance avec un six coups frère, un psy, un schizophrène, est-ce que vraiment ils écouteraient. alors on inspire de la weed pour être peace, La machine nous aspire, la masse nous sous-estime. est-ce pire que d'être bourré d'pilules, et saoulé d'vivre, des zombis qui gesticulent dans la foule et crient. dans la foulée riez, vous aurez beau prier, l'ciel esquive, c'est pas sa faute à lui, c'est la nature qui est sélective. Mais qui écoute ça ? c'est comme si je m'adressais aux esprits, s'rap triste finira en cendres sous les vestiges.
9.
Outro 03:20

credits

released January 17, 2020

Auteur / Interprète : Casanier
Prod : Damien Maurel
Mix : Bugs Benny
Mastering : Joël Dollié
Enregistrement : au Studio Vox par Orphee
Cover : Ogmyos Design

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